jeudi 24 juillet 2008

L'Europe en Couleur


Les rêves de l'Europe.

Beaucoup des jeunes gens dans mon pays la RDC, rêvent de l'Europe. En tout une bonne partie, d'entre eux, après les études envisagent venir vivre en Europe. Quoi de plus de plus normal que quelqu'un puisse avoir l'idée de vivre sous d'autres cieux. Seulement, la plupart n'ont pas des bonnes informations en leur disposition. Avant de quitter le pays, ils passent leur temps à suivre des films, où cet continent est présenté sous ses plus beau jours, des belles images d'un monde parfait. Certes l'occident a une longueur d'avance sur beaucoup des pays africains. Longueur d'avance pour certains, le vocabulaire est faible. Vulgairement quelq'un dira, l'homme blanc est très avancé. C'est vrai sur plusieurs aspects. Mais, une fois arrivé en Europe, la réalité est différente. Beaucoup se rendent compte que, la vie n'est pas facile. Elle est dure partout. Et pour vivre, il faut travailler. Heureusement que les artistes savent peindre les réalités sociales avec des notes, des harmonies, qui traduisent parfois avec humour des dures réalités. Dans une chanson du groupe ivoirien Magic System que j'écoute souvent, je me rend compte des réalités de l'Europe en y étant depuis quelque temps. Prenons, un extrait de cette chanson: ...on quitte chez avec beaucoup d'argent, arrivé là bas ça devient petit..., c'est marrant parce que dans la suite ces ivoiriens disent, Dieu les voit. Le bon Dieu, n'y est pour rien. Les sociétés sont différentes avec de modes de vie différents. C'est pourtant vrai vu la différence de pouvoir d'achat d'un Congolais et celui d'un Français par exemple. Mais on n'y pense pas trop. Beaucoup vivent difficilement, mais cachent cet aspect de la vie quotidienne, pour continuer à entretenir des faux éspoirs dans les têtes de plus jeunes restés au pays. Au Congo, les artistes musiciens ont aussi leur part de responsabilité dans cette histoire. Avec les pieds sur terre et un peu de réalisme, les choses peuvent beaucoup changer. Les couleurs que l'on admirent de loin perdent de leurs qualités, et la vie redevient en Noir en Blanc, donc réelle.

mardi 22 juillet 2008

République démocratique du Congo.

C'est quoi la démocratique? au fait la démocratie?

Un garçon demande à son père après avoir entendu parler de la RDC aux informations, c’est quoi la République Démocratique du Congo ? Et la réponse, qui est venue, c’est un pays de l’Afrique centrale aux dimensions continentales. Ce pays partage ses frontières avec neuf autres pays limitrophes. Et pourquoi démocratique ? Mais la réponse juste n’arrive pas aux lèvres du père. Et le jeune homme enchaîne, il est démocratique parce qu’il partage ses frontières avec beaucoup d’autres pays. Ce n’est pas du tout cela réagit le père. Et bien tentons de donner une réponse. Démocratique parce que, c’est le nom choisi par cet Etat. Trop simpliste comme réponse. Et bien il faut savoir aussi que la RDC est un pays aux ressources naturelles énormes, scandaleusement riches en minerais, en faune et flore. Ah bon papa, « c’est peut être pour cela qu’il est démocratique. »Au père de rectifier. Ce n’est pas pour cette raison qu’un pays devrait être considéré comme étant démocratique ou pas. Une démocratie ne saurait se résoudre à la richesse du sol et du sous-sol.

« Quand est ce qu’on peut dire qu’un pays est démocratique », relance le gamin?
D’accord, temporise le père. Il argumente à nouveau. La RD Congo, serait démocratique de par sa diversité culturelle. Les ethnologues y ont recensé plus de 450 dialectes, sans parler des tribus. Le père se frotte les mains, un peu soulagé de voir son garçon le laisser en paix.
Cependant, il n’est pas apaisé de ses réponses. Il continue ses réflexions. Eureka, s’écrit le père. J’ai trouvé, la RD Congo est démocratique parce qu’elle différente du Congo Brazzaville voisin. Avec cette différence, pas de confusion possible entre ces deux états.
De surcroît, sa démocratie est bien affichée dans son nom, République Démocratique du Congo. Dans les milieux de Kinshasa sa capitale, on parle de RDC « eloko ya makasi », entendez ; RDC quelque chose de fort.

Oh là là, l’on risque de perdre de vue qu’il y a quelques années, à l’époque du pouvoir de Laurent Désiré Kabila, un artiste présentait par une chanson son sens de la démocratie. Il disait, « pouvoir au peuple, pouvoir pour le peuple et pouvoir par le peuple.» C’est le vrai sens de la démocratie ? Est-ce ce qui est vécu dans ce pays, insiste l’enfant. Le Papa débordé va lâcher en disant, fiston, tu as ton sens de la démocratie, moi le mien.

La RDC changera.

Train en marche.

Géographiquement éloigné de la RD Congo, affectivement le lien est toujours aussi fort. Un bon matin de la semaine passée, j’apprends par les médias congolais que le président Joseph Kabila séjourne en France. Quelle bonne idée de le savoir sur le sol Français, de voir comment les services publics de ce pays sont organisés de l’aéroport, aux autoroutes, sans parler des bus et métros. Quel bonheur de savoir le chef de l’état Congolais effectuer son déplacement alors que les matériels pour les travaux de 5 chantiers sont déjà arrivés à Kinshasa. Je crois que ce matériel permettra la réalisation des travaux à la hauteur de ce grand pays, plus grand que la France et la Belgique; Pays aux dimensions continentales. Mais, je me demande si certaines de nos autorités ont déjà visité certains pays développés ? Et pourquoi les choses ne bougent pas trop dans ce Congo. Le transport dans mon pays est un casse-tête sans parler du manger, et de la scolarisation des enfants.
Il y a près de 8 ans, j’apprends qu’à Rennes, le métro n’existait pas. Aujourd’hui c’est une réalité. Est- ce que toutes ces réalisations ne sont pas possibles en RDC. Est ce que l’appropriation des 5 chantiers du Chef de l’état pourra apporter des changements considérables dans le vécu des Congolais ? N’empêche, je suis content de voir déjà sous des beaux jours les changements notables que connaîtra ce pays, qui sera légué à la postérité, comme le dis bien un passage du « débout congolais » notre hymne national.

jeudi 17 juillet 2008

A suivre

Avant qu'on ne se lance dans l'aventure avec vous de notre hymne national, je viens d'apprendre comment s'amuser un peu plus avec les mots tirés des journaux. pas du tout surprenant, parce que dans mon pays en RDC, il y a des gens qui viennent chaque matin, devant ce que l'oin pourrait appeller kiosque à journaux. sans lire l'intégralité des articles, ils se mettent à émettre des commentaires qui vont dans tous les sens. mais comment cela arrive? c'est l'esprit créateur qui leur donne ces connexions mentales dirai-je. Et bien place à la spéculation en partant des simples titres, ou bien l'extrait d'un article. voilà. Au fait, dans ma promotion, aujourd'hui nous venons d'apprendre un concept: médias fictions. je ne voudrais pas me faire prendre dans l'usage de l'article, le ou la? je coupe court, médias fictions, à chacun son article. Et bien, je disais que à partir des titres d'un journal, des extraits des titres d'un articles ou des articles de journaux différents, on peut s'amuser. les résultats de ce jeudi, les voici articles
à lire, c'est pas vrai, c'est de la fiction. Les titres et textes de départs en italiques

L’avenir du pédégé de la société Générale

Experts et passionnés de : oreilles pour échapper au vacarme des feux tirés par son père. Plus tard, c’est grâce au spectacle monté par celui-ci autour des Fleurs du mal de Baudelaire, qu’il découvre la dimension artistique de cette activité. Avant de pratiquer lui-même, il suit le cours de formation d’artificier. « C’est un média fédérateur par lequel on touche plusieurs classes de la société et qui permet de transmettre des idées », assure Joseph Couturier, auteur, il y a deux ans, d’un spectacle sur l’environnement.

Tension diplomatique et militaire entre Moscou et Tbilissi au sujet de l’Abkhazie

Des chercheurs américains ont localisé l’endroit, dans le cerveau, où réside le sarcasme : il s’agit de la cinquième circonvolution temporale (parahippocampal gyrus). Curieusement, ce point ne se situe pas dans l’hémisphère gauche, consacré aux fonctions du langage, mais dans l’hémisphère droit.
Nous l’avions déjà constaté, sans pouvoir l’expliquer : les esprits sarcastiques, peu nombreux au PS, sont légion à l’UMP. Mais, selon l’étude américaine, on peut perdre sa capacité à être sarcastique en prenant un coup à la tête.

Le premier ministre israélien, Ehoud Olmert, est à nouveau mis en cause par la justice.

Le premier ministre Congolais mis en cause par la justice, c’est la une du journal paru ce jeudi dans la presse Congolaise. C’est pas possible s’exclame un compatriote. Mais, pourquoi ? et tant d’autres questions que cette information suscite. Pas de réponse pour l’instant. Cela m’arrive pas tout les jours en RDC. Mais non, c’est pas une utopie. Au fait, c’est pourtant vrai. Seulement que cela se passe en Israël. Le premier ministre israélien, Ehoud Olmert est à nouveau mis en cause par la justice. A nouveau ? c ‘est pas drôle. Mais pourquoi ? Des sources proches affirment qu’il est poursuivi pour une affaire de pollution d’eau en France. C’est du n’importe quoi. Pollution de l’eau suite aux déchets d’uranium déversés dans une rivière. On en parle dans la presse française ce jeudi matin. Ce n’est pas une affaire Israélienne. C’est une affaire qui concerne les Français. Comment les atteindre ? quoi de mieux qu’un spectacle sur l’environnement. Spectacle ! pour un sujet aussi sérieux que l’environnement ? en parler dans une mise en scène ? Joseph Couturier, auteur, il y a deux ans d’un spectacle sur l’environnement se défend : « C’est un média fédérateur par lequel on touche plusieurs classes de la société et qui permet des transmettre des idées ». Pour le casting, Couturier recrute les acteurs au sein des partis politiques de la France. Il y a plus des membres de l’UMP que des socialistes. Encore un problème. Une marche est organisée pour protester contre la présence en grand nombre des acteurs UMP que du PS. Joseph Couturier, invité du journal de France soir se base sur une étude des chercheurs américains sur le cerveau. Selon cette étude dans le cerveau le sarcasme réside dans la cinquième circonvolution temporale. Scientifiquement, il parle de parachippocampal gyrus, pas facile à prononcer ni à retenir. Et c’est dans l’hémisphère droit. Couturier, l’auteur se défend toujours : « Nous l’avions constaté, sans pouvoir l’expliquer :les esprits sarcastiques, peu nombreux à PS sont légion à l’UMP ».
De quoi réconforter le cœur du pédégé de la société générale de spectacle. Oh là là, pas Pédé, j’ai. Plutôt, le président délégué général de la société générale, permettez mais la répétition, envisage déjà des beaux jours pour son entreprise. Pas de quoi attiser une tension diplomatique et militaire entre Moscou et Tbilissi au sujet de l’Abkhazie.

Pouvoir d’achat partir quand même :malgré le contexte difficile, trois français sur quatre partiront en vacances cet été. En dépensant moins et en guettant la bonne affaire.
TF1 : PPDA des adieux en prime time
Tour de France : le sacre du grimpeur nommé Ricco
Informatique : Une faille de sécurité a mis la toile en péril.
Ingrid Bétancourt :elle parle de Dieu, de la jungle ; de la solitude, des Farc, de la politique

Des adieux, et bien oui des adieux de PPDA qui se voit volé la vedette par le sacre du grimpeur nommé Ricco. Le tour de France, occupe bien les Français accoutumés aux journaux parlés de PPDA. Ils ne se lasseront pas si tôt, ces téléspectateurs de la France.
Ingrid Bétancourt, libre, elle fait parler d’elle. Mais, non, elle se lance dans l’évangélisation. Elle parle de Dieu, de la jungle, de la solitude, des FARDC, de la Politique. Dans son combat dans la jungle avec les FARDC, elle ne s’est pas arrêtée en politique. Pendant ses moments de silence, dans la solitude, elle n’a pas manqué d’avoir une pensée pieuse et un regard tourné vers Dieu. Elle nous en parle. De quoi réconforter les cœurs des vacanciers dont les portes monnaie sont mis en mal. Partir pour les vacances cet été n’est pas aisé pour plusieurs. Certains d’entre eux disent, partir quand même, malgré le contexte difficile. Trois français sur quatre partiront en vacances cet été. En dépensant moins et en guettant la bonne affaire. Bonne affaire ! Ingrid en sait quelque chose. Et sa bonne affaire, pour le moins qu’on puisse dire c’est sa libération et la jungle qui l’ont rapprochée de Dieu. Et les FARC qui la detenait captive, répondent en empruntant des concepts informatiques :une faille de sécurité a mis la toile en péril.

Deuxième idée

Victoire d’étape de Ricco au tour de France, il y a de quoi faire la une des journaux de ce soir. Mais, par tradition je préfère une Une politique, je penche pour la libération de Ingrid Bétancourt. Elle ne manque pas de quoi meubler le temps d’antenne. Elle parle de Dieu, de la Jungle, de la solitude, des FARC et de la politique. C’est mieux que des adieux en prime time de PPDA. C’est triste, mais il est obligé de le faire ; congédié. Malgré cela, il ne perd pas son pouvoir d’achat, surtout en cette période estivale. Les vacances, il faut se les offrir. Malgré le contexte difficile, trois français sur quatre partiront en vacances cet été. En dépensant moins et en guettant la bonne affaire. Etre vigilant pour ne pas être pris au dépourvu, comme certains informaticiens. Une faille de sécurité a mis la toile en péril.

dimanche 13 juillet 2008

Le rythme

De plus en plus on se plonge dans le bain de la vie à l'étranger. la préparation poursuit son cours normal, mais depuis quelques jours, je me sens un peu déconnecté de la réalité politique et sociale de mon pays, la RDC. mais, pendant mes cent pas, une idée ma traversée la tête, le sens de notre hymne national. je crois qu'à voir de près, cet élement de valeur national est porteur d'une grand message que l'on ferait mieux de comprendre pendant son exécution. je crois que nous devrions refléchir pous donner un sens à notre société, voire fonder nos projets de société en partant des messages contenus dans notre hymne national
Bon dimanche.

samedi 5 juillet 2008

Le week end

Salut les amis, aujourd'hui c'est le wee end. mais depuis vendredi, je ne savais pas à quoi ressemble les week end à Lille.Voilà que Vendredi après midi, j'ai pu joindre mon grand père qui vit à Lille. Et au téléphone nous nous fixeront un rendez vous pour samedi dans la mi journée. La soirée du vendredi était agréable. Nous l'avions passée chez notre directeur avec les autres collègues et un groupe d'étudiantes australiennes en visite à l'ESJ. Ce soir là nous avons mangé et dansé, parlé et discuté avec les autres. mais, encore une fois je m'étais égaré avant d'arriver chez notre directeur. Il habite sur une rue qui porte le meme nom avec une autre. Voilà que je me retrouve un peu loin de son domicile. Que faire pour me retrouver, je pose la question à un monsieur que je rencontre. Coup de chance. il est sympa et me guide jusqu'à proximité de ma destination rue Roger Salengro. Voilà que je marche, jusqu'au numéro 8, et rejoint les amis. Nous continuons la fête, jusque tard. Samedi matin, je quitte difficilement mon lit, repersécution de la fatigue de la veille. Nous devons nous rendre à une banque pour prendre rendez vous, afin d'ouvrir un compte. Et bien, c'est la culture. On traite avec les banques, on paie certaines factures avec les cartes bancaires. On a accès à certaines autres choses que par voie bancaire. Pendant ce temps, mon grand père m'attend dans les parages. Je le rejoins, direction, Lille sud, dans le quartier Haubourdin. Pour une fois, depuis près d'une semaine en France, je rencontre ma grand mère française, et mes oncles français. L'accueil n'est pas trop éloigné de l'afrique. Et dire que c'est pour la première fois que je les rencontre. je passe des bons moments, je mange le fufu, comme à Kinshasa, avec les feuilles de manioc et du poisson et le poulet. Vraiment, il n'y a rien de bon que de se retrouver en famille. Ce plan typiquement congolais a été préparé par ma grand mère. Et pendant que nous étions à table, je pose une question de curiosité, pour savoir comment elle avait appris à faire cela. la réponse est toute simple, c'est le grand père qui est a été son formateur. Coup de chapeau aux deux, formateur et élève. Cela prouve combien les rencontres inter culturelles peuvent être enrichissantes. A mon retour, la famille m'offre mes premiers ustensiles de cuisines. Génial. les photos, prochainement. Bon week end.

jeudi 3 juillet 2008

Un tour dans Lille, on découvre son histoire











Au quatrième jour de ma vie à Lille, je me suis senti plus détendu que d'habitude. Au fait, nous avons effectué une visite guidée avec notre formatrice Géraldine. Par moment nous nous perdions dans la prise des photos de la ville, des gares, et autres lieux visités.
Nous avons fait un tour au marché de Wazemmes. Voilà, un marché à l'architecture africaine, avec des articles africains, des vendeurs à la criée, bien plus, une gamme variée d'articles d'afrique et d'orient. En tout cas, je me suis pas senti dépaysé. J'ai rencontré un monsieur, qui appelait les acheteurs. Franchement, je n'avais rien entendu de ce qu'il disait, dans une langue que je ne comprenait pas. Je poserai la question à notre formatrice. A elle me dire que le monsieur parlait Français.
Dans notre promenade, j'ai de temps à autres remarqué que des gens dans cette ville peuvent s'embrasser chemin faisant, d'autres jouer à la guitare dans des places publiques. Et, oui, c'est la liberté et les droits qui sont garantis à tout un chacun. Et sur le plan historique, la visite m'a permis de comprendre le sens de la mémoire collective qui est préservée. Après des années, la ville de Lille garde encore les marques de son passé même, douloureux. Force est de constater que dans mon cher beau pays, les rues et autres lieux historiques sont débaptisés, soit spolliés tout simplement. Et ainsi, les générations futures n'auront pas assez d'opportunités de connaître ce qui s'est passé à une certaine époque.
Or, si mes souvenirs sont bons, il y un morceau du début congolais, notre hymne national, où l'on chante,... que nous léguons à notre postérité. Qu'allons nous léguer à notre postérité? Une question qui vaut la peine d'être posée dans ce pays au riche passé colonial. Pays où plusieurs président se sont succédés. Et si, notre ministère de la culture, pas seulement ce dernier, mais aussi ceux qui ont une parcelle de pouvoir peuvent mobiliser leurs éfforts pour préserver notre patrimoine nationale, cela serait vraiment un héritage réel pour les générations futures. Quoi que douloureux, un passé le reste. Les allemands, et l'histoire des nazis en est un exemple éloquent.
Contemplons la beauté de la ville.


mercredi 2 juillet 2008

La table de ma chambre


Je reflechis encore sur mon logement et voilà que jusqu'à présent je ne sais pas encore si je dois quitter la cité universitaire, ou bien y rester?

Mais je vous donne une idée de la table de ma chambre. Il y a aussi un lit et des meubles dans cet appartement. Oh là là, je ne rêve pas d'un appartement, plutôt que d'un simple logemen.

Sécurité sociale et assurance, quoi de mieux? Croire en l'avenir


Au troisème jour de l'initiation à l'ESJ de Lille, je me rend compte qu'il y a une masse importante d'information, de données et autres choses à savoir afin de mieux vivre dans cette société, où la culture de l'écriture est présente partout. Aux coins de rues, des carrefours et à différents endroits, gare etc., il y a des écrits et toutes autres indications. Et bien en cette journée, j'amasse une quantité importante d'informations et indications sur la sécurité sociale, l'assurance maladie, l'ouverture de compte, comment se faire soigner et autres. Là encore, il faudrait avoir la bonne information pour ne pas se retrouver dans des problèmes. Mais, c'est pas facile, surtout lorsque l'on vient d'un pays ou l'oralité est présente. D'abord il faut bien comprendre le fonctionnement du système sociale, et puis se mettre dans l'application des bonnes pistes de solutions. Que faire en pareille circonstance? Prendre le temps d'assimiler toutes les informations et puis appliquer ce que tu pourras.

A plus, avec un regard d'espoir vers l'avenir.
Un mot pour ceux qui comprennent ces langues,
Kimya ezala, ditalala dikala ku, ndembama vuanda na beto, muand yikaal bilengel buii tuut boos

mardi 1 juillet 2008

Problème de Photo


Je n'arrive presque pas à vous mettre en ligne mes photos. je tente encore une fois de plus. Bon amusement. Et cette fois c'est la meilleure. A très bientôt, pour d'autres histoires. Autrement dit masolo. A Zaventem, Bruxelles, dans l'attente de la correspondance pour Paris. Déjà, l'avion un retard. on attend evec mua bobangi, une peur non justifiée.

Les angoisses de mon arrivée

Je crois que, il y a des moments que l'on aimerai revivre au loin. De fois lorsqu'ils nous arrivent nous ne sommes plus en mesure de quitter ce à quoi nous tenons et étions habitués. Depuis près d'une année, j'attendais effectuer un voyage d'étude. Aller poursuivre mes études de journalisme à l'école de journalisme de Lille. Le jour du voyage arrive, je sens que mon coeur reste encore attaché à mon pays la RDCongo. Mais aussi, je dois me parfaire dans le travail qui est le mien, le journalisme. Tout les documents sont disponibles, les formalités pour le visa, tout s'arrange en moins d'une semaine. Le soir du samedi 28 juin, je prend mon vol pour Bruxelles. je suis heureux de revoir mes amis qui vivent depuis un temps en Europe. Mais un chagrin me pince le coeur, celui de laisser mes proches. C'est juste pour un moment. Aussi, c'est mon premier voyage en Europe, comme un Gaou à Paris. Mais, je vous livrerai quelques photos de ce voyage dans l'avion. Et quelques autres photos de moi. C'est parti pour la publication de mes photos sur mon blog.